Hoy desperté y como siempre, estoy pendiente del mundo tenístico en mis distintas redes sociales y apps del deporte. La noticia del día: ¡María Sharapova se retira!
Es una noticia que quizá unos años atrás me hubiera sorprendido aún más, pero la realidad es que al leerla, mi reacción fue: “claro, ya era demasiada lesión”. En su momento fue mi jugadora favorita, siempre estaba deseando que ganara títulos, sobre todo de Grand Slam. Nunca llego a ser tan mi favorita como lo fue Justine Henin o ahora lo es Simona Halep, pero de verdad le tenía un especial aprecio.
Llegó a ser la número 1 del mundo, ganó cinco Grand Slams (Wimbledon 2004, US Open 2006, Australia 2008 y Roland Garros 2012 y 2014), en total triunfó en 36 torneos y salió victorios en 645 partidos. Destacar su medalla de Plata en los Juegos Olímpicos de Londres 2012.
Sharapova fue parte de esa legión rusa que estuvo muy fuerte en la década de los 2000’s. En ese grupo figuraba Kuznetsova, Myskina, Safina, Dementieva, etc. Hoy por hoy, la única que quedará activa de ese grupo será Svetlana Kuznetsova. Atrás quedará la época de oro (por ahora) del tenis ruso femenino. Veremos si en algún momento despierta alguna otra revelación joven que les permita ser representadas en el Top 10 mundial como en su momento lo toparon.
La manchita de su carrera (aunque no fuera voluntario) es que en 2016 fue suspendida 15 meses por dóping (Meldonium).
Actualmente es la número 373 del ranking y los resultados ya no estaban dándose a su favor. No sólo por el hecho de que no ganaba, sino porque siempre estaba la incógnita de su estado físico. En los últimos 3 Grand Slams incluso perdió en primera ronda y ya era una constante su baja de torneos por molestias en su hombro principalmente.
En fin, nada más que agradecer a una tenista rusa que hizo ruido muy fuerte en el circuito WTA. Una joven que a sus 17 años supo ser campeona de Wimbledon pegándole nada más y nada menos que a Serena Williams. Hoy comienza un nuevo capítulo para ella y para el tenis femenino, ya sin ella como abanderada activa.
Gracias María!
Un capítulo más de Tenis con Isra 🙂
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En francais______
Sharapova tire sa révérence
Ce matin, je me suis réveillé, et comme à mon habitude, j’ai regardé les nouvelles du monde du tennis sur les réseaux sociaux et applications. Et là, je suis tombé la grande nouvelle de la journée : Maria Sharapova prend sa retraite !
C’est une nouvelle qui m’aurait sûrement encore plus surpris il y a quelques années, mais la vérité est qu’au moment de la lire, ma première réaction fut la suivante « c’est évident, elle a accumulé tellement de blessures… ». Il fut un temps, Sharapova était ma joueuse préférée, et elle était toujours ma favorite au moment des tournois du Grand Chelem. Elle n’a jamais atteint le niveau d’adoration que j’ai pu vouer à Justine Henin ou que je porte aujourd’hui à Simona Halep, mais elle avait tout de même une place spéciale dans mon cœur.
Pour rappel, Maria Sharapova a longtemps été numéro 1 mondiale, a Gagné 5 tournois du Grand Chelem (Wimbledon 2004, US Open 2006, Open d’Australie 2008 et Roland Garros 2012 et 2014), a triomphé lors de 36 tournois et a remporté au long de sa carrière la bagatelle de 645 matchs. Enfin, n’oublions pas sa médaille d’argent aux Jeux Olympiques de Londres en 2012.
Sharapova fut partie de cette légion de joueuses russes qui ont dominé les années 2000. Parmi ce groupe de redoutables tenniswomen nous pouvions retrouver Kuznetsova, Myskina, Safina, Dementiva, etc. Aujourd’hui, la seule rescapée de ces joueuses qui figure encore sur le circuit mondial aujourd’hui est Svetlana Kuznetsova. L’époque dorée du tennis féminin russe semble désormais derrière nous, à moins qu’une jeune révélation n’apparaisse et leur permette d’accéder de nouveau au top 10 mondial.
Le point noir de la carrière de Sharapova (même s’il n’était pas volontaire) restera sa suspension de 15 mois pour dopage au Medlonium en 2016.
Sharapova était actuellement 373ème mondiale et ses résultats montrait une certaine spirale négative. Non seulement parce qu’elle ne semblait plus capable de gagner des matchs, mais aussi parce que son état physique soulevait systématiquement des interrogations. Nous pouvons par exemple nous rappeler de ses 3 derniers tournois du Grand Chelem perdus au premier tour, ou ses abandons pour des gênes ressenties la plupart du temps à l’épaule.
Mais enfin, je souhaitais avant tout saluer la carrière de cette joueuse de tennis russe qui aura fait beaucoup de bruit sur le circuit WTA et qui aura marqué l’histoire de son sport, remercier cette jeune sportive qui aura su dominer ni plus ni moins que Serena Williams pour gagner le Grand Chelem de Wimbledon à seulement 17 ans.
Aujourd’hui commence un nouveau chapitre pour elle et pour le tennis féminin, sans son porte-drapeau du tennis féminin russe.
Encore merci Maria!
Un chapitre du tennis de plus avec Isra 🙂

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